妮可·库尔塞
Nicole CourcelUP:2021-09-14
妮可·库尔塞个人资料
Nicole Courcel (née à Saint-Cloud, France) débute à l'écran en 1946 et devient une vedette du cinéma français grâce à «Rendez-vous de juillet» (1949).
Elle est ensuite l'interprète de, entre autres, «La Marie du port» (1949), «Les Amants de Bras-mort» (1950), «Gibier de potence» (1951), «Les Amours finissent à l'aube» (1952), «Le Grand Pavois» (1953), «Marchandes d'illusions» (1954), «Papa, maman, la bonne et moi» (1954), «Papa, maman, ma femme et moi» (1955), «Le Cas du Dr Laurent» (1956), «La Peau de l'ours» (1957), «La Belle et le tzigane» (1958), «Le Passager du Rhin» (1960), «Les Dimanches de Ville d'Avray» (1962), «Nick Carter et le trèfle rouge» (1965), «Les Ruses du diable» (1965), …
Elle tourne en outre «Ein Mann geht durch die Wand» (1959) en Allemagne et «Le Vergini di Roma» (1961) en Italie.
Dès la seconde moitié des années 60, elle travaille beaucoup moins pour le cinéma et se consacre d'avantage au théâtre et à la télévision.
On peut néanmoins citer ses rôles dans «Le Rempart des Béguines» (1972), «L'Aventure, c'est l'aventure" (1972) ou encore «la Gifle" (1974).
Elle est ensuite l'interprète de, entre autres, «La Marie du port» (1949), «Les Amants de Bras-mort» (1950), «Gibier de potence» (1951), «Les Amours finissent à l'aube» (1952), «Le Grand Pavois» (1953), «Marchandes d'illusions» (1954), «Papa, maman, la bonne et moi» (1954), «Papa, maman, ma femme et moi» (1955), «Le Cas du Dr Laurent» (1956), «La Peau de l'ours» (1957), «La Belle et le tzigane» (1958), «Le Passager du Rhin» (1960), «Les Dimanches de Ville d'Avray» (1962), «Nick Carter et le trèfle rouge» (1965), «Les Ruses du diable» (1965), …
Elle tourne en outre «Ein Mann geht durch die Wand» (1959) en Allemagne et «Le Vergini di Roma» (1961) en Italie.
Dès la seconde moitié des années 60, elle travaille beaucoup moins pour le cinéma et se consacre d'avantage au théâtre et à la télévision.
On peut néanmoins citer ses rôles dans «Le Rempart des Béguines» (1972), «L'Aventure, c'est l'aventure" (1972) ou encore «la Gifle" (1974).